• ACTUALITÉS
  • CRÉATIONS
    • Installations
    • Vidéo
    • Photo acte I
    • Sériologie
    • Performances
  • COLLAB
  • INSTAGRAM
  • BONUS
  • CONTACT & BIO
< retour installations
BRas-pmoyen-H1000
View more
bras-vue-H1000
View more
Bras-gros-planH1000
View more
Bras / 2017 / Technique mixte : cordes à piano, photographies, diapositives, cheveux, vidéoprojection / dimensions variables
Pbras-ensemble-H1000
View more
Pbras-serré-H1000
View more
PBras-gp-H1000
View more
Petits Bras / 2017 / Technique mixte : photographies, diapositives, cheveux, bras amovible ventousé / dimensions variables

Variation autour de La Mort de Tintagiles de Maurice Maeterlinck présentée au Pari, Tarbes, septembre 2017 lors de l’exposition collective Naissance d’une mort.

  • Cartel de l'exposition

    Naissance d’une mort 

    EXPOSITION COLLECTIVE

    Exposition ou cartographie plastique de la trajectoire du jeune prince Tintagiles.

    Quatre plasticien•ne•s explorent la quête d’identité que dessine la trajectoire du personnage par l’effondrement des seuils comme celui entre la vie et la mort, entre l’enfant et l’adulte, entre les opposés et contraires. Nous les avons invité•e•s et il•elle•s se sont emparé•e•s de La Mort de Tintagiles de Maurice Maeterlinck pour la lier à leur intimité, à leur expérience de vie et la retranscrire, la projeter, la figer pour vous dans cette salle.

    Tandis qu’un acte de théâtre est éphémère et ne se vit que l’instant où un Homme le porte, ces œuvres plastiques peuvent être contemplées sans limite, ou du moins jusqu’à ce que la lumière et notre œil les portent. Nos acteurs / personnages sont les phares dans cette  brume du Nord. Ces œuvres sont, elles, comme les bouteilles jetées à la mer. Elles ne demandent qu’â être découvertes et emportées. Ainsi vous est livrée cette exposition… vibratile.

    L’approche de ces artistes, comme la nôtre puisque nous nous influons de longue date, est totale. Il•elle•s ont plongé dans le texte et en sont ressorti•e•s avec ces propositions plastiques originales et inédites. Ces œuvres font état de leur sensibilité face au texte. Chacun•e par ses obsessions a choisi son angle pour approcher le seuil que nous propose la pièce de théâtre. Nous vous laissons voir.

    100taur ou le sens du détournement, du revêtement d’un ancien réel en nouveau devenir.

    Marie-Pierre Brunel nous fait rencontrer ses personnages singuliers aux formes et couleurs prophétiques.

    Léa H. Tardieu qui joue encore et toujours de nos corps comme pièces à assembler pour nous reconstituer.

    Lilian Coquillaud pose son trait électrique et étonnant au sens étymologique du terme.

    Je préfère laisser parler au-delà leurs œuvres et finir sur cette citation de M. Maeterlinck :

    Je crois que ce n’est pas la première fois que j’attends et que je veille ici… et il y a des moments où l’on ne comprend pas tout ce qu’on se rappelle… J’ai fait ces choses, je ne sais quand… mais je n’avais jamais osé tirer l’épée… Aujourd’hui, elle est là, devant moi, bien que mes bras n’aient plus de force ; mais je veux essayer… Il est peut-être temps qu’on se défende, quoiqu’on sache que l’effort ne servira de rien. 

    Yohan Bret

Mur nu Écran en équilibre
LÉA H TARDIEU
lea@leahernandeztardieu.com
Designed by © Solutions Web